Saint Luc, l'évangéliste

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Un médecin grec, adorateur des idoles, soucieux de ses malades dont il connaît la faiblesse et souvent la misère. Jusqu'au jour où il entend saint Paul parler de Jésus, qui vient apporter le salut et la résurrection. Pendant 18 ans, il ne quittera plus désormais l'apôtre des nations et le suivit jusqu'à son martyre à Rome en 67. Dans ses récits, on trouve plusieurs termes médicaux pour parler de la maladie de ceux qui s'adressent à Jésus. Soucieux d'authenticité, il commence son évangile en nous précisant avoir étudié ses sources, comme le médecin écoute son patient pour mieux dire un diagnostic. Modeste et compatissant, il retient plus que les autres évangélistes tout ce qui marque la bonté du Sauveur et donne la joie : l'enfant prodigue, le bon Samaritain, la brebis perdue, la prostituée qui s'en va pardonnée, le bon larron. Dante dira de lui « Il est le scribe de la miséricorde du Christ ».  Il est aussi celui qui a introduit beaucoup de femmes dans ses récits : après la parabole de la brebis perdue mettant en scène un homme, il nous raconte la parabole de la drachme perdue mettant en scène une femme.

Heureux lui-même d'avoir trouvé le salut, il est, à sa manière, le chantre de l'amour incarné comme saint Jean le sera de l'amour infini de Dieu Trinité. C'est lui qui nous a parlé avec tant de délicatesse de Marie, la Mère de Dieu, dont il nous dit : « Elle méditait toutes ces choses en son cœur », ce qui veut dire qu'avec amour Marie relisait dans sa mémoire les faits et gestes du Seigneur, pour en approfondir toute la signification, comme saint Luc l'a fait en écoutant saint Paul et en nous transmettant cet évangile de la bonté de notre Père du ciel.

Il est aussi l’auteur des Actes des Apôtres qui nous raconte les débuts de la vie de l’Eglise depuis l’Ascension jusqu’au premier séjour de Paul à Rome.

Dans la liturgie, il est fêté le 18 octobre.

Un médecin grec, adorateur des idoles, soucieux de ses malades dont il connaît la faiblesse et souvent la misère. Jusqu'au jour où il entend saint Paul parler de Jésus, qui vient apporter le salut et la résurrection. Pendant 18 ans, il ne quittera plus désormais l'apôtre des nations et le suivit jusqu'à son martyre à Rome en 67. Dans ses récits, on trouve plusieurs termes médicaux pour parler de la maladie de ceux qui s'adressent à Jésus. Soucieux d'authenticité, il commence son évangile en nous précisant avoir étudié ses sources, comme le médecin écoute son patient pour mieux dire un diagnostic. Modeste et compatissant, il retient plus que les autres évangélistes tout ce qui marque la bonté du Sauveur et donne la joie : l'enfant prodigue, le bon Samaritain, la brebis perdue, la prostituée qui s'en va pardonnée, le bon larron. Dante dira de lui « Il est le scribe de la miséricorde du Christ ». Il est aussi celui qui a introduit beaucoup de femmes dans ses récits : après la parabole de la brebis perdue mettant en scène un homme, il nous raconte la parabole de la drachme perdue mettant en scène une femme.

 

Heureux lui-même d'avoir trouvé le salut, il est, à sa manière, le chantre de l'amour incarné comme saint Jean le sera de l'amour infini de Dieu Trinité. C'est lui qui nous a parlé avec tant de délicatesse de Marie, la Mère de Dieu, dont il nous dit : « Elle méditait toutes ces choses en son cœur », ce qui veut dire qu'avec amour Marie relisait dans sa mémoire les faits et gestes du Seigneur, pour en approfondir toute la signification, comme saint Luc l'a fait en écoutant saint Paul et en nous transmettant cet évangile de la bonté de notre Père du ciel.

 

Il est aussi l’auteur des Actes des Apôtres qui nous raconte les débuts de la vie de l’Eglise depuis l’Ascension jusqu’au premier séjour de Paul à Rome.

 

Dans la liturgie, il est fêté le 18 octobre.